La cuisine Shojin Ryori, littéralement « cuisine des moines bouddhistes », est un trésor culinaire méconnu qui a prospéré au sein des monastères japonais depuis des siècles. Cette forme de gastronomie sacrée est imprégnée de philosophie bouddhiste, mettant l’accent sur la simplicité, la pureté et la connexion avec la nature. Quels sont ses principes fondamentaux, et comment pouvons-nous nous en inspirer?
Notre système digestif, souvent appelé le deuxième cerveau, est bien plus qu’un simple mécanisme pour assimiler la nourriture. Il est le gardien de notre bien-être, le chef-d’orchestre de notre vitalité.
Ouvrez les portes de ce monde intérieur fascinant souvent négligé.
Petite plongée… au fond de la cuvette !
Une idée de recette très simple pour le petit-déjeuner, pour les personnes souffrant de constipation chronique ou passagère
Les chinois utilisent l’image d’un chaudron dans lequel mijote ce que l’on a mangé pour décrire la digestion. Sous ce chaudron, un feu, le feu digestif. Sans ce feu, rien n’est digéré. L’objectif principal de la diététique chinoise est de tout faire pour préserver ou rétablir un bon feu digestif, afin de bien digérer et assimiler notre alimentation, et bien sûr éviter les dysfonctionnements digestifs. Il ne s’agit pas de manger asiatique ! Au contraire, je m’évertue au cours de mes consultations et ateliers à appliquer les règles de la diététique chinoise à nos produits locaux, qui sont les plus adaptés à notre système digestif.
Quelles sont les 10 règles d’or de la diététique chinoise?
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